Chaque année, dans l’Éducation nationale, c’est le jeu des chaises musicales, à savoir les mouvements inter et intra académiques des personnels, notamment enseignants.
En juin dernier, le collège Réeberg Néron a ainsi vu partir des professeur(e)s, l’un pour une retraite bien méritée, quelques-uns par commodité personnelle, d’autres sans avoir pu conjurer la précarité de leur statut.
En échange, sa capacité attractive s’est exercée, parfois sur de très longues distances, pour combler la totalité des postes vacants. C’est ainsi que du “sang neuf” est arrivé de :
- Cayenne, Matoury, Kourou, Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane
- Pointe-à-Pitre en Guadeloupe
- Salon-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône
- Gallargues-le-Montueux dans le Gard
- Breurey-lès-Faverney en Haute-Saône
- Méréville dans l’Essonne
- Toulouse, capitale de la nouvelle région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée
- Istanbul en Turquie, anciennement Constantinople ou Byzance
- Mamoudzou, chef-lieu de Mayotte, dans l’Océan Indien
- et même de Taravao sur l’île de Tahiti en Polynésie !
Autant de regards, inaccoutumés et inédits, portés pour la première fois sur leur nouvel environnement, Rémire-Montjoly. Ce sont ces premières impressions, révélées par le truchement d’un appareil de photo numérique, que nous souhaiterions collectionner dans cette série d’articles.
Voici les premiers pas d’un(e) collègue sur les chemins de la première paroisse de la France équinoxiale.
Mé ki moun sa ?